9, et L’intégration européenne de la France. Dans le Pacte synarchique révolutionnaire pour l’Empire Français, l’« Union fédérative de l’Europe » ainsi que « les cinq fédérations impériales du monde actuel, déjà formées ou en formation, comme base d’une Société Universelle des Nations », sont évoquées. signalé par Jean-Baptiste Duroselle, L’Abîme 1939-1945, Paris, Imprimerie nationale, 1982, p. 187 (citation) et 216. Barnaud put signer dans le n° 36 des Nouveaux Cahiers du 15 décembre 1938 un éditorial triomphant, « Après la grève générale ». [36] Rapport Chavin, juin 1941, F7 15343, AN. [52] Bernard et al., Jouhaux, p. 260 et 265 ; Talbot Imlay, Facing the Second World War : Strategy, Politics, and Economics in Britain and France 1938-1940, Oxford, Oxford University Press, 2003, p.279 ; Lacroix-Riz, Choix et Munich, index. [52] Bernard et al., Jouhaux, p. 260 et 265 ; Talbot Imlay, Facing the Second World War : Strategy, Politics, and Economics in Britain and France 1938-1940, Oxford, Oxford University Press, 2003, p.279 ; Lacroix-Riz, Choix et Munich, index. [54] Cité, avec commentaire sarcastique, Le Monde (journal de l’Internationale communiste, Bruxelles) n°7, 21 octobre 1939, F7 14809, reconstitution et activité du parti communiste dissous, dossiers de renseignements, copies des interrogatoires députés, 1939, AN. 1934 fut une année décisive, tant par le mûrissement des projets synarchiques de destruction du régime républicain - « Plans » tous azimuts de « réforme de l’État » et mise en place définitive de la formule gouvernementale Pétain-Laval, alors respectivement ministres de la Guerre et des Colonies de Doumergue - que par l’accélération du déploiement au sein de la gauche non-communiste. Là encore, la solution qui s’impose nous paraît être la création d’une économie pan-européenne sur la base de certaines réformes de structure à réaliser sur le plan intérieur des grandes nations de notre continent. Cette tactique patronale rencontra d’autant moins de difficultés que depuis l’été 1934 l’unification syndicale s’opérait sous la seule impulsion des « unitaires » et que la progression des effectifs, nette en 1935, considérable en 1936, leur bénéficiait presque exclusivement. [55] Circulaire 24 Vrigneaud, Métaux, Paris, 29 novembre 1939, F7 14809, AN, et Bernard et al.,Jouhaux, p.265-266 (citation « un moyen […] unitaires »). Il fallut simultanément s’adapter à la perspective de plus en plus certaine - depuis la mort du Blitzkrieg - de Pax Americana et d’intégration de ces plans aux plans « européens » des États-Unis [89]. Elle devint cruciale dès l’été [68], avec l’effondrement brutal du Blitzkrieg dans les plaines russes [69]. Une intelligence avec l’ennemi, Paris, L’Harmattan-Le Pavillon 1992 ; Benoît Collombat et David Servenay, dir., Histoire secrète du patronat : de 1945 à nos jours. On était fort avancé dans la mise en œuvre des vastes projets « européens » communs, des cartels aux sociétés mixtes en passant par les cessions de titres français aux financiers allemands et les aryanisations partagées [79]. [58] Télégramme Abetz 1577 pour le Dr Schwarzmann, Paris, 21 décembre 1940, 3W 353 (ou 347), archives dites de Berlin (correspondance d’Occupation entre ambassade d’Allemagne et Berlin), AN. À l’exception de deux recrues « idéologiques » - l’ancien syndicaliste des Postes René Belin, premier lieutenant et successeur présumé de Jouhaux, et le publiciste de droite Jacques Benoist-Méchin -, on n’y trouvait que des hauts fonctionnaires et des cadres dirigeants du groupe Worms : il s’agissait des « animateurs de 1e classe, des hommes qui ne sont pas considérables dans la hiérarchie capitaliste, comme Jean Coutrot, Gabriel Le Roy Ladurie [fondé de pouvoir de la banque Worms] et tant d’autres », beaucoup plus que des « chefs héréditaires de l’économie française, qui ont toujours voulu demeurer dans l’ombre. En tant que syndicaliste, cela ne me regarde pas ; en tant que socialiste, j’en suis partisan. [46] Entrées correspondantes du Maitron ; des compléments, sur la base des sources, françaises et allemandes, absentes du Maitron, sur quelques chefs de Syndicats sont fournis plus loin (et communication citée n. 44). 355.031.RFA 125350 Office de presse et d’information de la RFA. : attachement au suffrage universel et à l’internationalisme, Critique du concept de “révolution bourgeoise” appliqué aux Révolutions des droits de l’homme et du citoyen du XVIIIe siècle, Pourquoi je ne suis pas altermondialiste. Les « milieux bien informés » n’ignoraient pas ces liens, de plus en plus nettement perceptibles depuis Munich. On avait au contraire beaucoup « discuté ». Car la synarchie de haut rang prit officiellement en mains la PI à partir du cabinet Darlan, de février 1941, jugeant désormais la « couverture » syndicale inutile. [50] Lacroix-Riz, Munich, chap. Cette tactique patronale rencontra d’autant moins de difficultés que depuis l’été 1934 l’unification syndicale s’opérait sous la seule impulsion des « unitaires » et que la progression des effectifs, nette en 1935, considérable en 1936, leur bénéficiait presque exclusivement. “Cette prise de position sans équivoque du président de la Société Générale qui doit être actuellement désigné comme le premier et le plus important des banquiers français semble particulièrement importante” », commenta le rédacteur allemand du compte rendu [80]. […D]ans son ensemble la CGT était d’accord pour organiser un rapprochement entre la classe ouvrière et le patronat afin d’établir une paix sociale et de préparer la guerre internationale qui est inévitable » [40]. En juin 1941, le rapport le plus célèbre sur la synarchie, celui du secrétaire général à la police (poste qu’occuperait Bousquet d’avril 1942 à décembre 1943) et directeur général de la Sûreté nationale, Henri Chavin [8], classa ainsi les grands « affiliés » en fonction de leur vivier : « 1° Anciens élèves de l’École Polytechnique (c’est la grande majorité) appartenant à l’administration, à la banque et à l’industrie. « transparente » - concepts strictement antagoniques. On était fort avancé dans la mise en œuvre des vastes projets « européens » communs, des cartels aux sociétés mixtes en passant par les cessions de titres français aux financiers allemands et les aryanisations partagées [79].

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