Cette page vise à rétablir les faits. Elle a invité la Russie à coopérer dans le domaine de la défense antimissile, une invitation qui n'a été adressée à aucun autre pays partenaire. Le but de cet «exercice» est de répéter un «déploiement rapide d'unités plus grandes outre-Atlantique et à travers l'Europe» afin de «s'assurer que les procédures appropriées fonctionnent dans une situation de crise». Le vice-premier ministre Dimitri Rogozine, émissaire de la Russie pour les questions de défense antimissile, a déclaré le 26 janvier 2015 que ni le système actuel de défense antimissile ni le système prévu ne pourraient nuire au potentiel de la Russie en matière de défense antimissile, ni même semer le doute à ce sujet. La Russie veut se présenter comme un allié fiable, durable et qui tient ses engagements dans le temps.". Allégation : l'OTAN prépare une attaque contre la Russie. Les accords bilatéraux conclus entre les États-Unis et les pays hôtes ne permettent pas l'utilisation de sites abritant des missiles à d'autres fins que la défense antimissile. Le Conseil OTAN-Russie, plateforme de dialogue importante, n'a jamais été suspendu. Les accusations selon lesquelles l'OTAN s'en est tenue à ses objectifs de l'époque de la Guerre froide font abstraction des changements bien réels qui sont intervenus. "C'est un lieu de rencontre et un carrefour dans lequel on sait qu'il y a des visites officielles, mais surtout des rencontres non-officielles", explique encore Éric Denécé. Illustration des officiers de l’Ecole spéciale militaire de Saint-Cyr. Chaque État souverain a le droit de choisir pour lui-même s'il souhaite adhérer à un traité ou à une alliance. Des responsables russes l'ont eux-mêmes confirmé : le bouclier prévu par l'OTAN ne nuira nullement à la capacité de dissuasion de la Russie. Dans les faits : en 2003, l'OTAN a pris le commandement de la Force internationale d'assistance à la sécurité en Afghanistan, placée sous mandat de l'ONU. Mais pourquoi la Russie cherche-t-elle à obtenir des informations de première main sur l’Otan ? C'est précisément ce que l'OTAN a fait, avec le soutien politique et militaire de pays de la région et de membres de la Ligue des États arabes. Dans les faits : jamais le projet de détection à distance des explosifs (projet STANDEX), lancé en 2009, n'a été gelé ou mis en suspens. Dans les faits : au sommet de Londres, en 1990, les chefs d'État et de gouvernement des pays de l'OTAN ont pris la décision suivante : « Nous devons rester solidaires, pour que se maintienne cette paix dont nous jouissons depuis quarante ans ». Par exemple, on serait ravi de recruter un officier Russe en poste en Syrie…", Une taupe française à l'Otan ? Toutefois, les forces afghanes sont désormais prêtes à assumer l'entière responsabilité de la sécurité dans tout le pays, comme convenu avec les autorités afghanes. Mais nous ne pouvons transiger et ne transigerons pas sur les principes sur lesquels reposent notre Alliance et la sécurité de l'Europe et de l'Amérique du Nord » (pour lire le communiqué du sommet de Varsovie, cliquer ici). Dans les faits : à partir du moment où les administrations des présidents Koutchma puis Iouchtchenko ont clairement exprimé la volonté de l'Ukraine d'adhérer à l'OTAN, l'Alliance a travaillé avec elles afin d'encourager la mise en œuvre des réformes qui allaient être nécessaires pour que ces aspirations deviennent réalité. Allégation : la mission dirigée par l'OTAN en Afghanistan n'est pas parvenue à mettre fin au trafic de stupéfiants dans le pays. Avant le sommet de l'Otan, le 12 juillet, la Suède étudie les scénarios possibles. Allégation : l'OTAN a une mentalité de guerre froide, Allégation : l'OTAN est un projet géopolitique des États-Unis, Allégation : l'OTAN a tenté d'isoler ou de marginaliser la Russie, Allégation : l'OTAN aurait dû être dissoute à la fin de la Guerre froide. L'OTAN n'est pas un acteur de premier plan dans ce domaine. Dans les faits : l'infrastructure militaire de l'OTAN en dehors du territoire de ses États membres est limitée aux zones dans lesquelles l'Alliance mène des opérations. Ainsi, le commandant Pierre-Henri Bunel, ancien officier de l’Otan arrêté en 1998, a livré à un officier serbe des informations sur des bombardements planifiés par l’Alliance atlantique. Allégation : les cas du Kosovo et de la Crimée sont identiques. On le sait grâce au contre-espionnage britannique et grâce à la source de cette histoire, un espion russe passé à l’Ouest. En 2002, ce cadre a été renforcé, avec la création du Conseil OTAN-Russie (COR). Nous apprécierions davantage d'exposés et plus de transparence, en particulier dans la perspective des prochains exercices militaires. Dans les faits : Le système de défense antimissile de l'OTAN est purement défensif et n'est pas dirigé contre la Russie. Hors du territoire des pays de l'OTAN, l'Alliance ne maintient une présence militaire qu'en deux endroits : au Kosovo et en Afghanistan. De fait, le niveau total des forces dans l'ensemble de l'Alliance est sensiblement moins élevé depuis la fin de la Guerre froide. Près de 2 300 employés y travaillent (traducteurs, attachés militaires, diplomates, etc.). Selon le ministère allemand de la défense, le poste de commandement de l'OTAN établi l'année dernière aurait notamment pour tâches de coordonner les mouvements de troupes et les transports de matériel européens en cas de «développement critique vers un affrontement imminent avec un adversaire égal», c'est-à-dire une autre grande guerre en Europe. Dans les faits : la politique de la porte ouverte de l'OTAN a aidé à surmonter les divisions qui régnaient en Europe depuis la Guerre froide. Désormais, dans le cadre de la mission Resolute Support, l'OTAN dispense formation, conseil et assistance aux forces afghanes. Dans les faits : l'OTAN a suspendu la coopération pratique avec la Russie en raison des actions agressives commises par ce pays en Ukraine. Cela implique de partager des informations sur les normes, les besoins et les difficultés de tout ordre en matière d'infrastructures civiles. Il n'existe aucun document indiquant qu'une telle décision aurait été prise par l'OTAN. Nos exercices et nos déploiements militaires ne sont pas dirigés contre la Russie – ni contre aucun autre pays. Pas un seul pays d'Europe orientale n'a soulevé la question, pas même après que le Pacte de Varsovie eut cessé d'exister, en 1991. Fidèles à l'engagement des Alliés en faveur de la transparence, l'Estonie, la Lettonie et la Lituanie ont accueilli, en novembre 2017 et en mars 2018, des inspecteurs russes chargés de la vérification de la maîtrise des armements. Qu’est-ce qui peut pousser un militaire français à transmettre des informations à la Russie ? L'OTAN étant une organisation qui doit rendre des comptes à ses pays membres, elle est tenue d'appliquer cette politique. L'Ukraine a commencé à évoquer la possibilité de renoncer au statut « hors bloc » en septembre 2014, six mois après l'annexion illégale et illégitime de la Crimée par la Russie et le début des actions agressives de la Russie dans l'est de l'Ukraine. Il n'existe aucun document indiquant qu'une telle décision aurait été prise par l'OTAN. Nous avons clairement fait savoir que nous continuons de chercher à entretenir une relation constructive avec la Russie. Dans les faits : chaque pays qui devient membre de l'OTAN s'engage à respecter les principes et les politiques de l'Alliance. L'Alliance a honoré tous ses engagements en la matière. La Russie entre donc dans cette guerre des prix avec deux objectifs principaux : chasser les producteurs américains du marché et exposer Riyad aux limites du soutien américain. Si on a l’occasion de le faire, on ne va pas s’en priver. Toutefois, nous continuons de garder ouvertes les voies du dialogue politique. Dans les faits : l'OTAN a été fondée en 1949 par douze États souverains : la Belgique, le Canada, le Danemark, la France, l'Islande, l'Italie, le Luxembourg, les Pays-Bas, la Norvège, le Portugal, le Royaume-Uni et les États-Unis. Dans les faits : au sommet du pays de Galles, l'OTAN a décidé de proposer à la Géorgie un paquet substantiel de mesures d'assistance, destiné à renforcer les capacités de défense de ce pays et son interopérabilité avec l'Alliance. La « politique de la porte ouverte » de l'OTAN se fonde sur l'article 10 du document fondateur de l'Alliance, le Traité de l'Atlantique Nord (1949), qui stipule que l'adhésion à l'OTAN est ouverte à « tout autre État européen susceptible de favoriser le développement des principes du présent Traité et de contribuer à la sécurité de la région de l'Atlantique Nord » et que toute décision sur l'élargissement doit être prise « par accord unanime ».
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