L'électrocardiographie comme outil diagnostique, et comme moyen d’analyse dans diverses implications cliniques, thérapeutiques et pronostiques. Pour terminer, le médecin traitant, de par le lien de confiance qu’il établit avec ses patients, joue un rôle fondamental dans la promotion de la vaccination. Download Citation | On Dec 31, 2009, Nizar Ajjan and others published Vaccination des personnes âgées | Find, read and cite all the research you need on ResearchGate French English, OECD's dissemination platform for all published content - books, serials and statistics Les vaccinations contre la poliomyélite et l’hépatite B étant des rattrapages selon le profil de risque, elles ne seront pas davantage détaillées. 7% des IIP surviennent chez des adultes âgés de 50 ans ou plus. La prévention constitue une partie importante de leur prise en charge. A cet effet, des fiches explicatives peuvent leur être distribuées. La conclusion des auteurs est que les individus à hauts risques ne se considèrent pas comme étant à risque de contracter une infection par le virus influenza et craignent les effets secondaires liés à l’immunisation. Entre 1979 et 2001, la grippe a entraîné en moyenne plus de 200 000 hospitalisations et 36 000 décès par an aux États-Unis (CDC, 2009b). L'abonnement à la Revue Médicale Suisse comprend 46 numéros thématiques par an aux formats papier, PDF et html, ainsi que l'accès aux applications médicales : Guidelines, Médicaments, Scores, Colloques. Suggestions pour la communication avec les personnes âgées. Vaccination de l'hiver pour les seniors Virus de la grippe et bactérie du pneumocoque sont aux aguets en cette période d'hiver. German, Mythes et croyances liés à la vaccination contre l’influenza et leurs réponses. (*parler avec une fluence verbale normale pour les patients souffrant de troubles cognitifs). Une des pierres angulaires se trouve au niveau de la communication2 et de la manière dont on peut aller au-delà des mythes et croyances liés à la vaccination. La couverture vaccinale des personnes âgées, c’est à dire de 65 ans et plus, en Suisse est nettement inférieure aux objectifs souhaités.1 Comme nous le verrons dans cet article, les causes sont multiples. Une des pierres angulaires se trouve au niveau de la communication 2 et de la manière dont on peut aller au-delà des mythes et croyances liés à la vaccination. La grippe est une maladie infectieuse courante dans le monde qui touche des personnes de tous âges. Euro Surveill Bull Eur Sur Mal Transm Eur Commun Dis Bull. Ensuite, il s’agit de pouvoir informer le patient du bien-fondé de la vaccination. Bien que les vaccins contre la grippe et contre la diphtérie et le tétanos soient efficaces et sûrs et que de grandes campagnes soient menées au niveau national pour encourager la vaccination, la couverture des patients seniors peine à augmenter. Cet article va discuter les raisons d’une adhérence insuffisante, partant du principe qu’un acteur du système de soins a proposé un plan de vaccination à un senior. 1 Comme nous le verrons dans cet article, les causes sont multiples. Des recommandations pour la pratique clinique ; les grandes classes de médicaments psychotropes ; leurs conditions particulières d’utilisation. La plupart des personnes qui contractent la maladie se rétablissent rapidement mais les personnes âgées et les personnes souffrant d’affections chroniques sont plus exposées au risque de complications, voire de décès. Inflenza-attributable mortality among the elderly in Switzerland. Il semble également primordial de prendre le temps d’explorer les croyances des patients, de leur expliquer les bénéfices et les risques relatifs de la vaccination, et de les faire participer activement dans le processus décisionnel. On sait aujourd’hui que la vaccination contre la grippe diminue le risque de tomber malade, réduit la mortalité, et constitue le meilleur moyen d’atténuer la gravité de la maladie et d’éviter les complications.8 Dans une étude menée pendant la saison 2013‑2014 aux Etats-Unis, elle a montré, chez les patients de 65 ans ou plus, une diminution de la mortalité intrahospitalière avec un rapport des cotes ajusté (adjusted odds ratio (aOR)) de 0,39 (IC 95% : 0,17 à 0,66), une diminution des admissions aux soins intensifs avec un aOR de 0,63 (IC 95% : 0,48 à 0,81), une diminution de la durée d’hospitalisation aux soins intensifs avec un risque relatif ajusté (adjusted relative hasards (aRH)) de 1,34 (IC 95% : 1,06 à 1,73) et dans les unités intrahospitalières avec un aRH de 1,24 (IC 95% : 1,13 à 1,37).9, Par ailleurs, une méta-analyse d’essais cliniques randomisés a montré que parmi des patients à haut risque de maladies cardiovasculaires, ceux qui avaient été vaccinés contre la grippe avaient un risque de 2,9% de développer un problème cardiovasculaire durant l’année qui suivait, beaucoup plus faible que ceux qui avaient reçu un placebo ou qui étaient dans les groupes contrôle, qui eux avaient un risque de 4,7%.10 Enfin, il a été démontré que la vaccination des patients à risques avait un rapport coût-bénéfice favorable.11.

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