La figure d’Artémis d’Éphèse proprement dite ne rentre pas du tout dans le corpus de la statuaire classique grecque. Au sommet d’un clocher de 41 mètres de haut surmonté lui-même d’une tour de 12,5 mètres, se dresse une statue monumentale de 11,2 mètres de la Vierge à l’Enfant. Une autre statue remplace la « brune » le 13 juin 1661. Il est occupé dès l’Âge de bronze. Ce syncrétisme va perdurer pendant des siècles, les points communs étant la fécondité, la fertilité, le pouvoir sur des forces animales ( Isis et les bovins), sur les forces astrales ( soleil pour Isis) et les fondations de cités. C’est en 1477 que cette chapelle primitive, qui était presque en ruines, fut remplacée tout à côté, par une nouvelle, avec voûte, elle-même transformée au moment de la construction du fort en 1525 . Elle peut à la limite être apparentée à la statue colossale d’Athéna au Parthénon, ce qui est signe de son importance. Notamment la grande figure méditerranéenne de Cybèle, considérée comme « mère des dieux », sur un char tiré par 2 grands félins, avatars d’ Atalante et Hippomène…Il se trouve que Cybèle est aussi une grande déesse phrygienne, tout comme Artémis. Marie obtint en effet immédiatement le statut d’une image divine et sublime qui l’éleva au dessus de tout ce qui était humain, mais, en même temps, elle resta strictement sous la tutelle du dieu de la trinité. Des cités entières leur sont dédiées et les portes d’Ishtar à Babylone,témoignent de la puissance du mythe. Ces cultures seraient sans doute proches dans leurs mode de vie et de valeur des cultures mésolithiques, avant la sédentarisation agricole. Si le TEMPLE d’ARTEMIS à EPHESE fut l’une des 7 merveilles du monde, la statuaire de cette déesse et ses spécificités en font une œuvre repère et charnière dans l’histoire de nos civilisations. À Marseille, Notre-Dame de la Garde est traditionnellement considérée par la population comme la gardienne et la protectrice de la cité. Ses bras sont à l’angle droit en signe d’accueil, ornés de cordelettes et laine et de petites sculptures de lion regardant son visage. Justinien achève de le démanteler en prélevant une partie de ses colonnes pour le palais impérial de Constantinople. Créez un site Web ou un blog gratuitement sur WordPress.com. Le temple d’Artémis à Éphèse (en grec Ἀρτεμίσιον / Artemísion, en latin Artemisium) est dans l’Antiquité l’un des plus importants sanctuaires d’Artémis. Les ressources disponibles en ligne sur l’Artémis d’Éphèse sont assez variées. Un grand pectoral représentant le zodiaque, un grand collier végétal. On la retrouve aussi dévoyée et associée à des forces obscures et démoniaques, alchimie et/ou tarot. Le caractère orgiaque du culte anatolien est un des aspects qui gênaient profondément le puritanisme patricien. A la place de l’accompagnement et de la complicité avec les forces animales naturelles, manière d’être héritée vraisemblablement des civilisations bovidiennes et mésolithiques, se fait jour une culture caricaturale de la force et de la violence systématique, aussi bien dans les rapports de genres ( rapts, viols, meurtres) que face au monde animal qui doit être soumis, comme les peuples, les esclaves …, Les histoires d’Hercule-Heraklès sont sans doute les plus emblématiques, jusqu’aux mythes les plus emblématiques du petit costaud dès la naissance…, La féminité est progressivement associée à la faiblesse, contre Achille, Bacchus, Endymion, Hercule et aussi Ulysse.. sensualité passive, oisiveté, lascivité, engourdissement, menus travaux…. Cette Gorgone femme aux serpents se retrouve dans le monde antique jusqu’à Leptis Magna, en Libye actuelle. De l’église originelle, nous ne savons pratiquement rien. Le brassage des cultures patriciennes et matriciennes dont fut victime plus tard l’empire romain, fut une des raisons qui mena Rome à sa perte. Cette statue est vraisemblablement à l’origine flanquée de 2 animaux sauvages. De même, la déesse babylonienne Ishtar, qui devient Inanna au proche-orient est souvent associée à des puissances de même nature. Ne reste que Cerbère, mais il n’ a rien d’humain, à la différence des Sphinges, Stryges, Moires, Gorgones, Sirènes, Parques etc…. La déesse est représentée en ronde bosse. Le site offre en effet un panel d’informations complètes sur le site d’Éphèse, le temple et les cultes voués à sa déesse. Après un inventaire, tous les biens de Notre dame de la Garde, sont vendus aux enchères, un an après la Vierge à l’ostensoir qui a été portée à l’hôtel de la monnaie. Peut-être s’agit-il de la « vierge brune » perdue ? Artémis fut à l’origine une déesse-mère matriarcale pré-aryenne. Même figure grimaçante, même postures et surtout même puissance redoutable. Le Christianisme, après qu’il eût conquis Rome et la Méditerranée, ne réussit pas à exterminer définitivement la déesse méditerranéenne. Traitées comme les centaures, les monstres, les forces obscures menaçant les cités virilistes grecques. Anonyme, Artémis d’Éphèse, Salle d’Artémis,Musée archéologique d’Ephèse. Les cultes souterrains à Isis/Artemis/Perséphone/Céres refont souvent surface, au bénéfice de crises religieuses et sociétales, comme à la Révolution française, où Isis est célébrée lors d’une fête républicaine, associant les caractéristiques de la déesse égyptienne et de la statue d’ Ephèse, du lait jaillissant des seins, elle remplace aussi la Notre-Dame parisienne ( peut-être érigée d’ailleurs sur l’îlede la cité, comme sur l’île de Philaé, en lieu et place de cultes isiaques apportés par des légions gallo-romaines). Avant l’épopée de Gilgamesh ( vers 1500 BC)..les figures successives d’ Innana et de Ishtar sont assimilables et expriment toutes des puissances universelles, pas seulement de fertilité. « La religion romaine archaïque », Georges Dumézil, Cliquez pour partager sur Twitter(ouvre dans une nouvelle fenêtre), Cliquez pour partager sur Facebook(ouvre dans une nouvelle fenêtre), Cliquez pour envoyer par e-mail à un ami(ouvre dans une nouvelle fenêtre), Matriarcat & Religions : des vestiges secrets au syncrétisme, Matriarcat et Paganisme : la Déesse-Mère, religion universelle de l’humanité primordiale, La Vierge Noire chrétienne, survivance d’un culte païen matriarcal, Notre Dame Isis, la déesse-mère alchimique secrète, de la Gaule romane à la franc-maçonnerie, Çatal Höyük (néolithique), civilisation matriarcale agricole urbaine et pacifique de la déesse-mère, Matriarcat indo-européen : les guerrières amazones antiques d’Asie centrale, Origines de l’islam : ses racines païennes matriarcales, Matriarcat Rhadé – ÊĐê (Vietnam) : totems d’Artémis, gardiennes des sources, et cheffes de clan. Ce qui est désigné comme « amazone », correspond clairement aux cultures des steppes et de grands espaces, ou vivent des peuples semi-nomades, d’éleveur et non d’agriculteurs. Comme références principales, nous recommandons : Le temple lui même est d’origine archaïque du 1er millénaire . Elle est souvent représentée avec un arc (en grec, bios) qui est homonyme de "vie" et dans son carquois, les flèches sont les rayons lunaires et solaires. Elle est debout, bras écarté en position de pronation. Ephèse n’est pas un hasard, là-bas, à l’ère paléochrétienne, il y avait encore un culte suprême de la déesse Artémis. On sait que l’Artémis d’Éphèse était la déesse de tous les Ioniens. Avertissez-moi par e-mail des nouveaux commentaires. Les statues de Diane d'Ephèse sont assez connues : le corps de la déesse est ordinairement divisé par bandes, en sorte qu'elle paraît pour ainsi dire emmaillotée. L’autre face de cette médaille, est la construction de figures monstrueuses, toutes féminines, associées à la colère, la mort, la monstruosité, la calomnie, la laideur, le danger . Le fourreau est décoré de chevaux et taureaux . Figure dominante, séductrice et dangereuse, supposée tuer ses amants, elle est repoussée par Gilgamesh, qui progressivement devient le héros masculin, vainqueur du taureau céleste d’ Ishtar… L’idée de dominer et maîtriser par la violence le taureau, qui jusqu’à présent, dans de nombreux cultes était associé à la force féminine ( Catal Huyuk par exemple et les « bucranes ») est un mythe que l’on retrouvera de Nemrod à Thésée, Hercule par exemple. La vérification e-mail a échoué, veuillez réessayer. Il est pillé par les Ostrogoths en 263 puis brûlé par les chrétiens en 401. Progressivement, les modèles féminins sont remplacés par des figures patriarcales, reprenant systématiquement les attributs des déesses anciennes. On retrouve en Arabie Saoudite actuelle, pays d’un apartheid misogyne, des cultes anciens à 3 déesses primitives,, qui sont souvent associées aux lions et trônant , comme les déesses de Catal Huyuk et Ishtar. Cette déesse symbolise la fertilité comme ce fut le cas pour le palmier ; alors on suspendait des grosses dattes en or sur la statue de la déesse et que l’on prenait pour des seins.

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